L’agilité décisionnelle avec les neurosciences – Un nouveau cycle d’ateliers démarre le 9 octobre 2017

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L’agilité décisionnelle, nouvelle compétence pour les dirigeants, DRH, acteurs des transformations, coachs et consultants est devenue incontournable.
L’agilité vous connaissez, c’est ce mélange de souplesse, d’adaptabilité, d’intelligence collective… que l’on a d’abord vu éclore dans les projets « agiles ».
Pourquoi associer agilité et décision ? Nous avons tous fait le constat que malgré des envies et des ambitions fortes de changement, nos entreprises sont le plus souvent engoncées dans des pratiques et comportements organisationnels dont elles aimeraient se débarrasser.

J’ai construit avec Bernadette Lecerf-Thomas, spécialiste des neurosciences appliquées au management une série de cinq ateliers pour faire le lien entre les nouvelles connaissances issues de neurosciences et cette agilité indispensable aux personnes et aux organisations. Je les co-animerai avec des coachs-consultants formés comme moi par Bernadette.

Au programme le point sur les connaissances, les échanges et partages d’expérience avec les participants et animateurs.

Le prochain cycle démarre le 9 octobre 2017 et se terminera le 29 janvier 2018.

Pour en savoir plus.

Pour s’inscrire ou se renseigner : brigitte.dubreucq@coherens.com ou 06 07 31 42 77

Et vous, comment développez-vous votre agilité ?

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Golf, faire un Sudoku entre deux seaux de balles

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Un intéressant article paru dans la revue Cerveau et Psycho et en accès libre sur le site de ses auteurs, nous rapporte quelques études intéressantes sur l’apprentissage, quand cet apprentissage fait appel à la mémoire procédurale.

En simplifiant, notre mémoire est constituée de deux formes de mémoire : la mémoire déclarative et la mémoire procédurale.

La mémoire déclarative est la mémoire des faits,  celle des évènements et du langage qui aide à la constitution des souvenirs. La mémoire procédurale, quant à elle,  permet de façon inconsciente l’apprentissage des procédures motrices (les gestes) mais aussi des procédures perceptives ou cognitives… C’est la mémoire des savoir-faire, celle qui nous permet de faire du vélo… même quand nous n’en avons pas fait depuis longtemps.

Revenons à notre article…

Pour reconnaitre les vins, comme pour mémoriser les bons gestes du golf, c’est la mémoire procédurale qui est la plus importante, celle qui permet de progressivement ajuster et « ancrer » la bonne perception et le bon geste.

Dans cet article plusieurs expériences démontrent que quand nous ne sommes pas experts du domaine, le « commentaire verbal » que nous faisons de nos apprentissages est contre-productif. Il vaut mieux passer à autre chose et laisser la mémoire procédurale jouer son rôle, simplement. Le risque sinon est de troubler par le « verbal » la mémoire perceptive et procédurale.

Bref, amis du TGE* qui vous entrainez dur pour battre les équipes amies, entre deux seaux de balles, entre deux séries de putt…. ne vous prenez pas la tête.

Et quand vous serez revenus au bureau, pensez-y… car le conseil est transposable à tous nos « gestes » professionnels, et notamment ceux du management et du leadership.

*Tournoi des Grandes Ecoles (golf)

 

Première publication en mai 2013

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Le temps des vacances

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En train de boucler vos valises ?

Avant de partir, je vous propose de lire le dossier publié durant l’été 2015 sur « Le cerveau en vacances » par Jean-Philippe Lachaux.
« Comment bien se reposer la tête pendant les vacances ? Les neuroscientifiques ont découvert que notre cerveau réorganise entièrement son activité durant cette période, et qu’un séjour réussi doit en tenir compte ! »
Le cerveau en vacances

Quand nous nous mettons en « vacances », nous permettons à notre cerveau de recharger ses « ressources mentales » épuisées par l’hyper vigilance que nous lui imposons le restant de l’année. Mais contrairement à ce que nous pouvons spontanément penser, le cerveau ne se met pas au repos et va, en l’absence d’objectifs multiples, intenses, nécessitant toute notre attention, se mettre en mode par défaut. Ce mode du « vagabondage » que vous avez parfois observé, est celui qui vous permet aussi des associations fertiles, des découvertes inattendues… Sauf que, sans sujet sur lequel porter votre attention, ce mode peut vous entraîner à la longue dans de la rumination stérile.

Alors, nous conseille Jean-Philippe Lachaux, coupez sérieusement le lien professionnel et proposez-vous des activités cérébrales « douces », une à la fois, sans enjeux d’exploit ou de performance intense.

Vous allez me dire, impossible de me déconnecter totalement. Et même si je le pouvais, en partant sur une île déserte coupée du WiFi et de la 4G, je serais inquiet de savoir ce qui se passe.

Avant de partir, prenez le temps de préparer vos vacances 

  • faites la liste des « to do » et des « sujets chauds » pour la rentrée…. enfermez cette liste soigneusement dans votre bureau….  laissez là derrière vous et oubliez là. Vous ferez l’économie d’une vigilance inutile pendant vos vacances
  • informez vos collègues proches ou collaborateurs de « permanence »  des sujets urgents qui peuvent arriver et laissez-leur les informations utiles, cela leur évitera trop de surprise, et vous évitera de l’inquiétude stérile
  • si vous avez un téléphone « pro » et un téléphone « perso », laissez le premier au fond de votre valise et donnez votre N° « perso » à quelques personnes de confiance qui pourront vous appeler en cas de sujet important et urgent
  • créez-vous une adresse sur une messagerie « perso-pro », que vous communiquerez à quelques personnes pour vous  envoyer un message court en cas d’urgence, et que vous réserverez à cet usage pour qu’elle ne soit pas envahie …. ne soyez pas déçu si aucun mail ne vient vous mobiliser, c’est que tout va bien
  • pensez à mettre le rituel message d’absence sur votre messagerie mail, en indiquant la personne que l’on peut solliciter en cas d’absence…. désactivez la notification de message, cachez soigneusement l’icône de votre messagerie professionnelle sur votre téléphone pro (si vous n’en avez qu’un) pour ne pas être tenté d’aller y faire un tour
  • et si à l’occasion d’un vagabondage cérébral,  un oubli ou une idée pro pointent à l’horizon, notez-là dans un petit calepin… vous les retrouverez à la rentrée

Vous êtes « off », vous pouvez respirer, partir léger avec quelques idées d’activités sympa… une occasion peut-être de renouer avec des sujets d’intérêts ou des loisirs que vous appréciez avant…. avant que vos responsabilités ne vous embarquent loin… Vous pourrez peut-être y trouver suffisamment de plaisir pour les conserver à la rentrée.

Je vous souhaite de très bonnes vacances, avec plein de moments de bonheur en famille, entre amis… et plein de moments de bonheur de « rien ».

Première publication en juillet 2015

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Bernadette Lecerf-Thomas – Les neurosciences pour renouveler l’art de la transformation

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Bernadette Lecerf-Thomas nous a quittés, elle va nous manquer.

J’ai rencontré Bernadette il y a bientôt sept ans, en septembre 2010, à l’occasion d’une conférence que j’organisais pour HEC « Posture managériale : les apports de l’athlétisme de haut niveau et des neurosciences. » Ce n’est pas elle qui intervenait sur le sujet, elle y avait été invitée par l’un de nos camarades qui connaissait son engagement autour des neurosciences.

Au moment du traditionnel pot convivial, elle m’a proposé d’approfondir le sujet et c’est dans un petit restaurant de Neuilly que nous avons vraiment fait connaissance. Depuis nous ne nous sommes plus quittées. En décembre de la même année, c’est elle qui animait la conférence du Groupement HEC – Management et Ressources Humaines : « Utilisation des neurosciences et de l’approche systémique pour la transformation des entreprises ». En 2013, elle participait à la table ronde organisée par les Clubs RH des Grandes Ecoles, « DRH – 2013, l’année du Co » aux côtés de Joel de Rosnay. Elle aussi surfait la vie.

Au même moment, je réfléchissais à mon parcours professionnel « post DRH » et cette belle rencontre a largement contribué au choix que j’ai fait autour des transformations organisationnelles et personnelles. Le bon moment, la bonne personne, les bons sujets….

C’est avec elle que je me suis formée au coaching d’organisation et à la systémique. J’ai suivi de près l’écriture en 2012 d’« Activer les talents avec les neurosciences » et nous avons commencé à travailler ensemble sur la conception et l’animation d’ateliers pour faire connaître et transmettre toute cette matière qui lui semblait essentielle pour renouveler l’art de la transformation. Les derniers en date forment un cycle autour de l’agilité décisionnelle, et elle voyait avec bonheur les apports des neurosciences se révéler au grand public.

Ce qui m’a frappé en travaillant avec Bernadette c’est son énergie pour transmettre ce qu’elle considérait comme un apport majeur pour le coaching et le coaching d’organisation, et cette impatience qui l’habitait.

Dotée d’une intelligence dynamique et d’une curiosité insatiable elle dévorait tout ce qui était publié, annotait, synthétisait, rassemblait des idées éparses pour créer de nouveaux modèles d’action. « J’ai un nouveau schéma » … et nous voilà parties dans des explications, incompréhensions, précisions, révisions… jusqu’à ce que le modèle « tourne » bien et soit utile. Car ce qui lui tenait le plus à cœur, c’est que ce qu’elle produisait soit utile pour transformer la vie, celle des organisations et de leurs leaders, la nôtre. Et elle n’hésitait pas à partager avec générosité, dans une logique d’essaimage.

Son dernier projet était celui d’un ouvrage collectif « Se transformer en transformant », la trame est écrite.

Depuis quelques mois elle rencontrait différents soucis de santé qui se sont révélés être les symptômes d’une grave maladie. Lucide et toujours dynamique, elle s’est vite adaptée à ce qui était prévisible, mais la maladie est allée encore plus vite et l’a emportée en quelques semaines.

Sa dernière chronique « Conjuguer engagement intellectuel et engagement émotionnel » était consacrée à la version francophone que j’ai coordonnée du livre de Richard Barrett « l’entreprise inspirée par les valeurs ».

Merci Bernadette pour ce dernier cadeau.

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Leadership – Quand l’insuffisance de « dérailleurs » pose problème

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On parle beaucoup de l’excès de « dérailleurs », que les assessments HOGAN mettent particulièrement en évidence. Les « dérailleurs », ce sont ces comportements que vous poussez trop loin quand vous ne pilotez plus votre image sociale, que ce soit pour cause de trop de stress ou à l’inverse pour trop de confort et d’habitude.

Et on voit bien les dégâts que quelques dérailleurs surpuissants peuvent créer et leurs conséquences. Nous avons tous croisé des patrons caractériels, explosifs, « parano », excessivement exigeants… au sens commun de ces termes.

Mais avant de devenir des dérailleurs, ces comportements reflètent des points d’appui et forces très utiles.

Dans mes entretiens d’approfondissement des assessments HOGAN, je passe autant de temps sur les dérailleurs surpuissants que sur leur absence, car leur absence peut devenir un inconvénient pour la performance et le parcours professionnel.

Prenons l’exemple du dérailleur « versatile ». Il est en général constaté chez quelqu’un qui se montre actif, énergique, sympathique, enthousiaste et persévérant… Quand il est poussé trop loin, il amène par contre à être facilement déçu, agacé, de mauvaise humeur et irritable voire à devenir explosif, y compris pour des détails, à refuser toute critique, à abandonner les projets quand tout ne se déroule pas comme prévu voire à se fâcher avec la terre entière.
Ce patron « explosif » vous pouvez sans peine l’imaginer ; il fait l’objet des discussions autour de la machine à café, il fait souvent la une des revues de management.

Vous aurez plus de difficulté à imaginer un leader avec une dimension « versatile » très faible…. Un leader calme, qui ne se laisse pas embarqué par ses émotions, qui prend le temps d’analyser ce qui se passe, qui n’explose pas à la première déception ou anicroche et qui mène les projets qu’il a initiés au bout…
Et pour cause, ce manager sera plus rarement promu à un rôle de leader. Car il aura du mal à créer l’enthousiasme dans l’équipe, à faire briller les yeux, à rassembler les personnes autour d’un projet… il pourrait même ne pas comprendre ce que cela veut dire, car il restera sur les enjeux « raisonnables » de ce projet.

Or on le sait aujourd’hui, chacun doit pouvoir « accrocher son char à une étoile », et la première compétence d’un leader est de montrer à chacun cette étoile, alliant l’individuel et le collectif. Et cette étoile, elle est d’abord dans l’émotion.

Vous vous êtes reconnu dans ce leader hyper calme et rationnel ? Pensez à créer l’engagement émotionnel de votre équipe, en vous appuyant sur ce qui a de la valeur pour elle, ce qui la met en mouvement individuellement et collectivement et en travaillant votre propre intelligence émotionnelle et relationnelle.

Sur le thème des dérailleurs, je vous recommande l’excellent article de Trish Kellett, co-auteur de « Coaching the dark side of personnality »

Sur l’engagement émotionnel, je vous propose la dernière chronique de Bernadette Lecerf-Thomas, en référence à « l’entreprise inspirée par les valeurs » de Richard Barrett, dont j’ai coordonné la version francophone.

 

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Conjuguer engagement intellectuel et engagement émotionnel par Bernadette Lecerf-Thomas

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L’entreprise inspirée par les valeurs

Conjuguer engagement intellectuel et engagement émotionnel !

Pour imaginer et entraîner dans un futur différent, il faut que notre intelligence soit mobilisée, que le désir soit de la partie, que la peur n’ait pas le pouvoir, que la colère serve au progrès et non à la violence, que la tristesse et la détresse servent à prendre soin de l’autre et de nous-mêmes. Que nous soyons capables de mettre en lien notre intention profonde et l’intention du projet auquel nous participons. C’est le propos de Richard Barrett dans son ouvrage « l’entreprise inspirée par les valeurs » qui vient de sortir en français ces jours-ci.

Au cœur de notre cerveau, le circuit de la récompense influence la façon dont nous donnons de la valeur à toute chose, « c’est bon ou pas pour nous ». Il réagit en fonction de ce qu’il a appris dans le passé et peut nous empêcher de voir de nouvelles opportunités. Richard Barrett propose des principes et une méthodologie pour travailler sur trois types de valeurs. Celles auxquelles les personnes sont attachées, celles qui ont le pouvoir dans la culture actuelle et enfin, celles qui seraient pertinentes pour la culture désirée. Ceci, en prenant évidemment en compte la réalité économique et professionnelle de l’organisation concernée.

 

Ce ne sont pas les organisations qui se transforment, mais les individus. Richard Barrett nous invite à prendre la mesure de cette réalité. La transformation des organisations et des sociétés est le fruit non seulement de la transformation des connaissances et des compétences, mais surtout de nos représentations et de « la réalité fictionnelle » qui nous habite. Antonio Damasio l’a démontré dans ses travaux sur les liens entre conscience et émotions. Chacun d’entre nous dispose d’une conscience qui émerge d’un processus intime, fruit de notre équilibre profond où nos sentiments ont un rôle prédominant. Richard Barrett, conscient de cette réalité, invite à concilier des aspirations profondes et des aspirations collectives en permettant l’émergence explicite de ce que chacun attend et de ce qui est pertinent par rapport au projet.

 

Pour ouvrir ses perceptions aux évolutions du monde, l’être humain a besoin d’être serein et motivé. Mobiliser différents types d’intelligence en interaction et mieux comprendre la complexité, ne peut se faire qu’avec un certain niveau de sécurité. Pour être positif dans l’interdépendance intellectuelle et émotionnelle, des valeurs partagées sont le ciment qui permet de dépasser les clivages et les conflits. Richard Barrett a dédié ses travaux à cette conviction et a prouvé sa puissance. Dans l’ouvrage en français cinq consultants expérimentés témoignent de leurs expériences au travers de cas. On y voit comment ce travail permet une évolution culturelle significative avec des aspirations qui ont du sens collectivement. Il facilite grandement la mise en œuvre du changement, car les désapprentissages de comportement obsolètes et l’apprentissage de nouveaux comportements sont considérablement facilités quand ils sont convergents avec les valeurs co-élaborées dans un processus impliquant.

 

Mesurer à quel point besoins individuels et besoins collectifs sont complémentaires. Chercher la voie pour les réconcilier et les mettre en harmonie dans l’organisation. Mettre en lien, servir un but, faire la différence, créer de la cohésion interne, produire l’énergie de la transformation, soutenir l’estime de soi, faciliter les relations positives et garantir le sentiment de sécurité sont des dimensions essentielles pour inventer un nouveau monde, voici le credo de Richard Barrett. Ce travail, complémentaire à une stratégie prospective plus classique, crée une implication et un engagement des personnes qui n’a pas son pareil pour aller sur un nouveau chemin.

 

L'entreprise inspirée par les valeursRichard Barrett nous propose une méthodologie éprouvée pour conjuguer transformation personnelle des dirigeants et des collaborateurs dans un mouvement convergent. Il montre comment engagement intellectuel et émotionnel sont synergiques. Dans cet ouvrage, cinq consultants expérimentés rapportent des applications qu’ils ont faites de cette méthode. Pour tous ceux qui veulent conjuguer démarche rationnelle et démarche sur les valeurs, ce bouquin est une mine d’or.

Bernadette Lecerf-Thomas
www.lecerfthomas.com

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L’entreprise inspirée par les valeurs

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Fruit d’une aventure collective que j’ai coordonnée, « L’entreprise inspirée par les valeurs » est la traduction francophone et enrichie du livre de Richard Barrett « The values-driven organization ». Richard Barrett et le Barrett Values Centre se consacrent depuis 20 ans à la mesure de la culture de travail et des valeurs qui inspirent les organisations et leurs leaders.

Au plaisir de partager avec vous notre passion pour cette approche des transformations culturelles, organisationnelles et personnelles inspirées par les valeurs.

Rendre explicite l’implicite

MESURER, COMPRENDRE, CO-CONSTRUIRE LA CULTURE DE L’ORGANISATION POUR ENGAGER ET PILOTER LES TRANSFORMATIONS QUI S’INSCRIVENT DANS LA DURÉE.

Grâce à de nombreuses nouvelles recherches et de multiples sources, Richard Barrett a écrit un livre fascinant qui explique pourquoi les entreprises inspirées par les valeurs sont les plus performantes dans le monde. Pour lui, la clé pour créer une entreprise hautement performante réside dans la compréhension des besoins des salariés, ce à quoi ils accordent de la valeur. Lorsque vous prenez en compte leurs besoins, les salariés répondent avec des niveaux d’engagement élevés, ils ont envie de mettre leur énergie et leur créativité au service de leur travail.

Ce livre rassemble et complète en un seul volume deux des livres précédents de Richard Barrett : Libérer l’âme de l’entreprise et Building a Values-Driven Organization.

Il constitue un manuel de référence pour les leaders et agents du changement qui souhaitent créer une entreprise inspirée par les valeurs. Il propose une approche du leadership et un langage pour la transformation et le changement de culture des organisations avec des concepts tels que l’entropie culturelle, l’alignement des valeurs et le changement du système dans sa globalité.

Grâce aux différents outils de diagnostic culturel proposés et mis à jour et à une panoplie de nouvelles études de cas passionnantes sur le développement de la culture et du leadership, L’entreprise inspirée par les valeurs constitue un apport essentiel pour les étudiants, les chercheurs et les acteurs des domaines de la trans­formation des organisations, du leadership et de l’éthique.

Richard Barrett est auteur, conférencier et leader internationalement réputé dans le domaine de l’évolution, inspirée par les valeurs, de l’entreprise et de la société. Il a une douzaine d’ouvrages à son actif. Il est le fondateur et Président du Barrett Values Centres. Il est également intervenu dans le programme de leadership « Consulting and Coaching for Change » proposé par HEC Paris et l’Université d’Oxford et a participé en tant que Professeur adjoint à l’Institute for Values-based Leadership, Royal Roads University (Canada).

Le site du livre

 

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Agilité décisionnelle – Un nouveau cycle d’ateliers démarre le 18 novembre

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L’agilité décisionnelle, nouvelle compétence pour les dirigeants et DRH, incontournable aujourd’hui pour les consultants et coachs.
Je co-anime avec Bernadette Lecerf-Thomas, des ateliers pour faire le lien entre les nouvelles connaissances issues de neurosciences et cette agilité indispensable aux personnes et aux organisations.

Au programme le point sur les connaissances, les échanges et partages d’expérience.

Le prochain cycle démarre le 18 novembre 2016. Pour en savoir plus.

Et vous, comment développez-vous votre agilité ?

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Alliance francophone pour les valeurs #WorldValuesDay

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Cette journée #WorldValuesDay a été créée par nos amis du Royaume Uni, regroupés sous la bannière de la « UK Values Alliance ». D’autres « alliances » existent ailleurs dans le monde et nous avons été accueillis lors de la Conférence du Barrett Values Centre à Toronto par la Canadian Values Alliance, qui parle dans les deux langues, l’anglais et le français.

Et j’ai le plaisir de vous annoncer la naissance de l’Alliance francophone pour les valeurs, elle a vocation à rassembler, au-delà des frontières, toutes celles et tous ceux qui, francophones du monde entier, se mobilisent pour que notre société, nos entreprises soient inspirées par des valeurs qui rassemblent.

Tout est à construire.
Je vous attends nombreux, nombreuses pour relever ce challenge de partager en français ce que nous faisons au service d’un monde inspiré par des valeurs communes.

Pour prendre contact : brigitte.dubreucq@coherens.com

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Journée mondiale pour les valeurs #WorldValuesDay

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Aujourd’hui 20 octobre, c’est la Journée Mondiale pour les Valeurs.

Elle concerne bien sûr les entreprises et les différentes organisations dans lesquelles nous travaillons, mais nous pouvons parler « valeurs » en famille, à l’école, et à l’inverse plus globalement sur le périmètre de notre pays.

Alors simplement, aujourd’hui, téléchargez le document « I value… So I », ou prenez ou une feuille de papier et partagez une valeur qui compte pour vous.

Et si vous avez envie de parler des valeurs en famille, je vous propose la version française d’un exercice créé par le Barrett Values Centre pour faciliter le dialogue entre les parents et les enfants. La version destinée aux écoles sera bientôt disponible.

 

 

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